C’est avec un sourire que je commence ce journal qui me sera sans doute inutile, mais au moins pour la personne qui serait susceptible de tomber sur lui. J’estime être fièrement d’accord avec cette citation du film de Coppola. Sans paraître macho – tiens, elle est bonne celle-là - ou matérialiste, sans fric, nous sommes rien. Surtout les hommes. Et j’estime de nouveau être un cadeau des cieux pour certaines d’entre vous, quand je dis certaines, je parle notamment des femmes, et, ma foi heureusement, rien n’est plus sublime que le corps d’une femme. Je m’appelle Dexter A. Abraham.
« Dans mon commencement est ma fin et dans ma fin mon commencement.»
« CHAPITRES ONE.»Naître en plein vol, n'est-ce pas merveilleux au yeux de tous ? En faite a premier vu cela peut paraître amusant, mais pour Dexter c'était tout le contraire car déjà quelque minutes dès sa naissance ces parents était déjà en grande discutions pour quelle nationalité opter.Une grande discussion vous direz et bien , cela aurais plus passez pour une chicane de couple. De plus , depuis sa naissance ses parents ne cesse de se chamailler que pour de simple niaiseries. Ses prédictions se sont révélées avérées puisque, quatre ans plus tard, il se retrouve au milieu d'un divorce. Maman. Papa. Le choix restait entier et la juste réponse, un mystère. Ni l'un, ni l'autre. Son entêtement était risible mais justifié. Ses caprices et exigences passaient vraisemblablement au second plan puisqu'on prit une décision pour lui. Le gagnant ? Papa. Le perdant ? Dexter. Hé oui déjà quelques temps se sont écoulé et me voilà déjà abandonné de mes propres parents. Le paradis non ? Le jour de sa naissance Dexter était pratiquement toujours seul avec sa nounours qui était tout simplement sublime malgré le jeune age du garçon. Au moins, j’aurais la sagesse, tout comme sa mère. Du moins, je l’espérais. Tout comme j’espérais beaucoup de choses, dont la liberté qu'il avait déjà acquis en certain cas. À Lavanville, ce n’est pas un droit que nous possédons. D'ailleurs je crois que nous en rêvons tous de la liberté. Voilà ce qu'il désirait lui . Pouvoir prendre le premier avion et partir loin de sa ville natale n'étant pas la ville des ses rêves , vu les loi qui y règnent . Se trouver un emploi, un vrai. Non pas se mettre à genoux devant les touristes et se laisser traîner à la laisse, mais bien sauver des vies, gérer des entreprises, enseigner à la relève.
« CHAPITRES TWO.»Belle-maman. Il avait 15 ans et elle, 22. D'un regard il l'emportait Dieu sait où. Son sourire le bouleversait. Il l'a haïe pour ça presque autant qu'il l'a désirée. Elle ne le tromperait pas. Aucun homme n'est dupe quand on cherche à l'obtenir. Gagné. Les femmes réussissent toujours. Son père a fini par le découvrir à moins que... Non. Il a fait en sorte qu'il les découvre. Cadeau pour toutes ces années passées avec l'interdiction de voir maman. Cadeau pour ne pas lui avoir permis de lui dire adieu alors qu'elle agonisait sur un lit d'hôpital ivre et désabusé. Résultat ? Jeté dehors. Il ne s'en porte pas plus mal.
Me voilà a l'aéroport. Il restait cinq minutes avant l’heure du rendez-vous. Je ne voulais pas non plus arriver trop tôt, de peur de me faire repérer par un haut placé ou je ne sais qui, pour ensuite paraître trop suspect. Je me suis assis sur un rocher, peu éloigné de l’entrée principale, avant d'apercevoir un avion arrivé au loin, un homme arriva. L’homme me fit un signe de tête bref et discret, mais assez prononcé pour me faire comprendre qu’il était là pour me prévenir que c'était son avion pour l'Australie. Je me suis approché de l'entrée et j'y suis entré.
Ma mère avait toujours été une femme frivole, je savais qu’elle n’avait pas toujours été une sainte. Peu de temps avant de mourir, durant l’absence de mon père elle m’avait fait promettre d’assurer de ma survie, de mon envol, de ma liberté. J’avais vu juste; je quittais ma ville natale. J’ai tourné la tête vers celle-ci, qui peu à peu se flouait dans le décor. C’était la dernière fois que je voyais cet endroit. À partir de cette minute, cette seconde, je courais pour ma liberté. Si tout se déroulait bien, j’arriverais dans ce grand pays libre dans quatre heures maximum. Je laissais Lavanville derrière moi. Après 2 heures de vol , je suis arrivé à destination.
Me voilà maintenant à Céladon. Je me suis adapte rapidement à ma nouvelle ville et mis au courant de ce qui se passais ici. La première chose qu'un habitant m'informa était nul autre la nouvelle que les combat était maintenant devenu illégaux. Un petit sourire se dessina sur mon visage suite à cette annonce que je venais tout juste de connaitre. Je n'étais pas particulièrement contre les combats pokémon, mais je n'étais pas pour non plus. Puis quelques jours plus tard, une nouvelle annonce, cette fois, c'était la goute qui fessais débordé le vase. Je décida donc de m'engager dans la CPSD afin d'arrêter la Motion Empire.